TÉMOIGNAGES

Révélation d'un caractère

Ce qu'il y a de remarquable dans la VDR, c'est sa fonction de "révélateur de personnalité". Des personnes de tout âge, d'origine sociale très diverse, à la personnalité parfois étouffée, timide, voire complexée, se sont métamorphosées en s'adonnant à cette activité. Les distributeurs indépendants qui ont réussi parlent souvent de la passion qu'ils éprouvent pour leur métier, de la joie qu'il leur donne, ce qui laisse perplexes ceux de leurs amis pour qui le travail "c'est la galère". La différence essentielle entre emplois traditionnels et VDR c'est la liberté et le style de vie qu'elle apporte à celui qui la pratique en professionnel.
L'expérience de Valérie

Jusque là aucun travail ne me plaisait. Je travaillais uniquement pour gagner ma vie. Je sentais au fond de moi des énergies inemployées. J'avais envie de bouger, de rencontrer des gens, alors que je passais mon temps dans un bureau sinistre à taper des lettres et des dossiers insipides sur le clavier d'un ordinateur.

 
Un jour, une voisine m'amena chez une de ses amies où une jeune femme présentait une collection de lingerie fine qu'elle offrait en vente directe. Je fus subjuguée par l'ambiance, la convivialité, la beauté des articles. A la fin de la présentation, toutes les femmes présentes ont acheté quelques objets. L'une d'elles se proposa d'organiser à son tour une vente par réunion privée à son domicile car elle avait été enchantée par cette formule.

 
Tandis que la démonstratrice encaissait le produit de ses ventes, l'hôtesse nous servit à goûter. Une fois sa collection rangée, Virginie nous expliqua comment elle travaillait et nous précisa que si nous étions intéressées, nous pouvions nous aussi devenir distributrices indépendantes et développer notre propre réseau de vente.

 
Conquise, j'assistai à une séance d'information dans les locaux de l'entreprise où, en petit comité, Virginie et Isabelle sa marraine présentaient la VDR à quelques candidates. Je m'inscrivis dès la seconde séance, et, aujourd'hui, j'organise à mon tour des réunions. J'ai déjà parrainé deux personnes. Pour le moment je garde mon emploi et je travaille comme DI à temps choisi, un soir ou deux par semaine et le samedi. La VDR me rapporte déjà plus que la moitié de mon salaire actuel et j'aime beaucoup ce que je fais.   V.M.
Conseiller-vendeur indépendant
Toute personne qui le désire (ou presque) peut devenir distributeur indépendant (DI). Au début, il exerce généralement son activité à temps choisi, après son travail, avec le statut officiel, en France, de Vendeur à domicile indépendant (VDI). Au-delà d'un certain chiffre d'affaires annuel ou d'un revenu (ventes, commissions, bonus), il changera de statut. Il devra s'inscrire au registre du commerce ou créer sa société (EURL ou SARL, etc.), car s'il possède une motivation forte et de l'ambition, il doit le plus rapidement possible passer du stade de simple VDI à celui de manager de réseau.
Comment j'ai dû changer de métier

Rien ne me prédisposait à la VDR. Un jour, une amie anglaise m'apprend qu'une entreprise américaine de dimension internationale va s'implanter en France. Mon amie se propose de me faire découvrir cette société et ses produits, et éventuellement de me parrainer.

 
Dans mon passé informatique, j'ai participé au démarrage de sociétés américaines en France, aussi suis-je curieux et intéressé par le sujet.

 
J'apprends que cette société est le premier producteur au monde d'Aloès (Aloe vera) et spécialisée dans les produits de bien-être, les cosmétiques et les compléments alimentaires. Présente dans plus de 50 pays, son chiffre d'affaires croît régulièrement depuis 1978, date de sa création.

 
J'apprends aussi que le système de vente de cette société se fait en Vente directe à travers un réseau de distributeurs indépendants, type de vente qui m'est inconnu. Ayant pris connaissance du plan financier (plan de rémunération) de la société, j'ai très vite ressenti les possibilités immenses de cette méthode de vente.

 
Dans mes activités passées, j'ai souvent eu envie de me mettre à mon compte. Voilà que l'occasion se présentait pour moi de réaliser ce pari, avec un tout autre produit, sur un tout autre marché.

 
Dans la vie actuelle, les circonstances font qu'il faut accepter de changer d'activité. Même à 50 ans il faut savoir rebondir, d'où mon intérêt pour cette profession nouvelle.

 
Une fois parrainé, j'ai dû faire face immédiatement à une déferlante imprévue : la réaction de mes proches et de mes amis.

 
Pour eux, la Vente directe ne correspondait pas à une activité sérieuse. Et mon nouveau statut de Vendeur à domicile indépendant leur semblait vraiment peu représentatif pour un ancien directeur commercial. De plus, ils avaient vu une émission à la télé où cette activité était passée au pilori. On parla même de "sectes". «C'est un travail de marginaux. Que vas-tu faire dans cette galère? pourquoi gâcher ton acquis, ton expérience ?»

 
Mon premier travail fut de convaincre mon entourage des possibilités professionnelles réelles qu'offre la VDR à une personne sérieuse et active. J'ai donc investi dans ce nouveau métier ma conviction profonde et mon seul capital : cette expérience de la vente acquise pendant des années.

 
Je n'ai jamais eu à le regretter, bien au contraire! Devant ma réussite, le scepticisme de mon entourage a disparu, et j'ai même suscité des émules!   Jacques COUDERC
Une profession réglementée.
Le distributeur indépendant n'est pas un vendeur comme un autre, non seulement à cause du montant potentiel de ses revenus, mais également par les satisfactions qu'il retire de ses activités. Car son travail ne se limite pas à vendre une marchandise à autrui. Il devient le porte-parole de produits ou d'un service qu'il aime, qu'il a adoptés pour lui-même, qu'il connaît à fond.

 
Une fois familiarisé avec la VDR, il va les promouvoir autour de lui, afin que d'autres personnes découvrent la qualité des produits et bénéficient éventuellement des avantages du système de vente en les parrainant. Celles-ci, commercialiseront à leur tour les produits ou services de l'entreprise.

 
Une fois qu'il a adhéré à un réseau, le DI doit acquérir une formation solide, théorique et pratique. Une formation de base lui est dispensée gratuitement par l'entreprise, le leader de sa lignée et essentiellement par son parrain direct.
Je n'aimais pas mon travail

J'ai 28 ans. Je travaille depuis l'âge de 16 ans. J'ai fait un tas de petits boulots : serveuse dans la restauration, caissière de Prisunic, coursière pour une chaîne de pizzas, aide-ménagère, assistante chez un dentiste, garde d'enfants, etc.

 
Un jour, une amie de province m'a parlé de son job qui lui plaisait beaucoup et lui permettait de vivre décemment. Il s'agissait de vendre de la parfumerie à une clientèle privée au cours de réunions de vente.

 
Ça m'a plu. L'ambiance était chaleureuse, conviviale. Et cette activité avait l'air de rapporter pas mal d'argent.

 
Je me suis inscrite, parrainée par mon amie. Et me voilà lâchée dans la nature avec mon facturier et ma valise de parfums. N'obtenant aucun résultat, mon enthousiasme du début n'a guère duré. Au bout d'une semaine hormis quelques amies, je n'avais pas réussi à réunir des gens pour leur proposer mes parfums. Ma famille, mon entourage se moquait de moi.

 
Découragée j'ai prévenu ma marraine que j'abandonnais le business. Et pour pouvoir payer mon loyer et manger j'ai travaillé au noir dans un bar.

 
Là j'ai connu l'enfer. Assaillie par des clients grossiers qui me prenaient pour une prostituée, j'ai fui sans exiger ma paie.

 
Pendant des semaines ce fut très difficile. Comme je ne pouvais plus payer mon loyer j'allai habiter chez une amie. Je retrouvai du travail dans une boulangerie. Au moins j'avais mon pain et quelques gâteaux rassis à l'oeil pour subsister. Mais ce n'était pas la joie.

 
Un jour, un garçon sympathique, chez qui je faisais une livraison, me demanda comment il se faisait que, "jeune et jolie comme j'étais" (ce sont ses paroles) je faisais ce travail. Il estimait que je méritais mieux.

 
Je pensais évidemment qu'il essayait de me draguer et je haussai les épaules.
Mais, quelques jours plus tard, lors d'une nouvelle livraison, il revint à la charge et me fixa rendez-vous chez lui, après mon travail.

 
Qu'est-ce que je risquais? J'y allai sans appréhension. Or, je m'étais trompée. Ce n'était pas la bagatelle qui l'intéressait mais le business.

 
Il me parla de son travail. Il vendait des produits et des appareils pour la santé en vente directe. Et, sans que je puisse l'arrêter dans sa démonstration, lui dire que j'avais déjà donné dans cette activité, il passa une demie heure à me faire tester ses appareils et ses produits.

 
Souriant, parlant bien, connaissant son affaire sur le bout des doigts, il me fit essayer un gilet magnétique anti-douleurs et anti-stress, des semelles au pouvoir défatigant, un appareil de massage à boules, etc.

 
Fascinée par son aisance, sa gentillesse, son argumentaire sans faille, je ne dis pas non lorsqu'il me proposa de l'accompagner sur le terrain, le samedi suivant, lors d'une réunion organisée dans les salons d'un hôtel. Pour mieux me convaincre, il me dit qu'il avait absolument besoin de moi, que je lui servirais de mannequin !

 
Le petit salon de l'hôtel était plein. Il me présenta comme son assistante. La réunion fut parfaite. J'en sortis éblouie. Il faut dire que ce jeune homme était très doué. Il vendit ce jour là pour plus de trois mille euros de marchandises. Et, pour me remercier de l'avoir secondé il m'offrit un combiné déstressant et une invitation à une autre réunion pour le dimanche suivant.

 
C'est ainsi que, peu à peu, sans me forcer, sans me bousculer, il m'amena à ce qu'il souhaitait: me parrainer afin que je devienne une distributrice dans son réseau. Ce que je devins en effet, au bout de trois mois.

 
Il fut un parrain parfait. Ce fut lui qui organisa mes premières réunions au cours desquelles il me mit en valeur, m'apprenant le métier sur le tas, me donnant confiance en moi.

 
Aujourd'hui je vole de mes propres ailes. J'ai monté à mon tour un réseau performant. Je forme des distributeurs et des distributrices que j'accompagne jusqu'à leur réussite. J'ai une voiture. Je me suis achté un studio grâce au plan marketing de la société VDR pour laquelle je travaille. Je gagne très bien ma vie.

 
Seule déception dans cette aventure. Je suis tombé secrètement amoureuse de mon parrain. Mais Alain, c'est son prénom, est marié à une femme charmante avec qui je m'entends très bien. Et si nos relations sont devenues de plus en plus cordiales, Alain n'a jamais mélangé son travail et sa vie privée. Ce qui est un bon point de plus à son actif !  Liliane A.
Parrainage et Formation.

Le DI occasionnel devient peu à peu un vrai professionnel, bénéficiant ainsi de revenus plus importants, le bonus, rémunération légitime pour la création, le développement et le suivi d'un réseau performant s'ajoutant au bénéfice produit par ses ventes propres.

 
Chaque DI porte donc plusieurs casquettes. A ses débuts, il est simple distributeur de produits ou de services auprès d'une clientèle de particuliers qui représente son fonds de commerce. Puis il a pour vocation de développer un réseau de distributeurs et devient tout naturellement "l'entraîneur" et le formateur de l'équipe de DI qu'il a parrainée. Il doit les aider à créer leur propre fonds de commerce. Enfin, dans la foulée, il devient "chasseur de tête", afin de dénicher des leaders capables de développer et d'animer un réseau.

 
Bien sûr, la plupart des distributeurs n'ont pas forcément cette ambition et se contentent de revenus plus modestes en vendant des produits dans leur entourage immédiat. Mais la véritable opportunité de la VDR en termes de gain financier est évidemment le développement de son propre réseau de distributeurs comme nous le verrons plus loin.
Qui peut devenir distributeur indépendant ?

La VDR ouvre une voie royale à tous ceux qui souhaitent s'assurer des revenus grâce à une activité libre sans contrainte d'horaire ni pression hiérarchique.

 
La porte est ouverte à tous, ou presque... car en France les conditions légales de travail sont plus contraignantes qu'ailleurs. Ainsi, sauf cas particuliers, un fonctionnaire, un préretraité et certaines catégories de retraités n'ont guère le droit d'exercer une activité rémunérée, même à temps partiel, sauf risque de perdre leurs droits.

 
Toutefois les personnes dont le statut ne permet pas a priori de devenir Distributeurs indépendants réalisent tout de même leurs objectifs en travaillant en famille ou en constituant une EURL, une SARL ou une SA, etc. Leur rénumération ne sera plus constituée par un salaire mais par la distribution à leur profit des bénéfices de leur société.

 
L'activité de la vente directe restant occasionnelle pour un grand nombre de distributeurs indépendants, la loi du 27 janvier 1993 a institué un régime dérogatoire les faisant bénéficier d'un statut social particulier d'assimilé-salarié au regard de la sécurité sociale, sans remettre en cause leur statut d'indépendant non salarié vis-à-vis du Code du travail.

 
Pour les chômeurs des dispositions (Délibération UNEDIC 28 ? Calcul des allocations) les autorisent à travailler à temps partiel sans perdre leurs droits aux assedic. Leur entreprise VDR ou la Fédération de la Vente directe sont à même de vous informer des dernières dispositions légales en la matière.
Ce qu'ils ont dit de la VDR

"Je crois fermement que le marketing de réseau est un système si unique et si extraordinaire qu'il ouvrira de nouvelles possibilités dans tous les domaines de votre vie, comme il l'a déjà fait pour des milliers de personnes à travers le monde."
(John Kalench)

"Du fait que cette activité est ouverte à tous, la réussite n'est garantie à personne. Chacun évalue ses propres capacités, ses propres chances de succès."
(Dewandre & Mahieu )

"Le marketing de réseau est la meilleure opportunité d'affaire de toute l'histoire du capitalisme."
(Mark Yarnell René Reid Yarnell)

"Dans le marketing de réseau il faut persévérer ou périr. Survivre à la première année établit le nouveau distributeur sur une base solide et l'oriente vers le succès. Notre analyse démontre qu'approximativement 95 % de ceux qui survivent 10 ans dans le marketing de réseau deviennent immensément riches, plus riches qu'ils n'avaient pu l'imaginer dans leurs rêves les plus audacieux."
(Mark Yarnell & René Reid Yarnell Votre première année en marketing de réseau - (Net Libris).

"Si vous choisissez cette activité vous allez vous embarquer dans l'aventure merveilleuse du double développement d'une entreprise et de votre propre personnalité."
(Jacques Roux-Brioude)

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