VDR
QUESTIONS/RÉPONSES


 
La VDR offre aujourd'hui à chacun la meilleure opportunité
de monter sa propre affaire et même de faire fortune

 
Question :
Distributeur indépendant de produits de beauté,
pourquoi ne puis-je vendre mes produits à des magasins qui acceptent de les diffuser ?
Réponse :
Par définition, les produits et services distribués par la Vente directe ne se trouvent pas en magasin. C'est une autre forme de commerce qui se veut concurrentielle de la vente traditionnelle. Elle vise à remplacer la publicité par le bouche-à-oreille, à élaguer des intermédiaires, à rétablir le contact de personne à personne.

 
Par ailleurs, cette forme de distribution permet à la société VDR d'être à l'abri des différentes pressions exercées par des monopoles qui n'ont pas intérêt à voir un nouveau produit ou service arriver sur le marché et souhaitent maintenir leur chasse gardée.

 
Voilà pourquoi la VDR exige que le produit offert au public soit d'une qualité parfaite et vendu exclusivement par son réseau de distributeurs indépendants compétents. C'est bien une autre forme de commerce.

 
Toutefois, certains commerçants traditionnels dynamiques, qui ont compris les avantages de la VDR suggèrent à leur épouse, à un de leurs enfants ou à un de leurs proches de bénéficier du système et de saisir l'opportunité qui se présente pour doubler leur clientèle en "ratissant large". La VDR se pratique souvent en famille.

 
Il est de par le monde des avocats, des juges, des hauts fonctionnaires, des médecins, des pharmaciens, des PDG de grandes sociétés qui ont monté de toutes pièces des réseaux VDR performants et rémunérateurs. Ils ne font pas cela pour "faire joujou" ou entretenir une danseuse mais parce qu'ils ont compris l'extraordinaire potentialité du système.

 
La VDR est non seulement un extraordinaire révélateur de personnalité qui permet à chacun de tester sur le terrain son dynamisme, sa compétence et son savoir-faire mais également un puissant levier pour réaliser ses ambitions.
Question :
Pourquoi la VDR connaît-elle un si fort pourcentage d'échecs parmi les nouveaux adhérents?
Pourquoi si peu de réussites réelles ?
Réponse :
Le système accepte tout le monde. Il n'y a pas de sélection ni de barrage à l'entrée. Chacun peut participer, mais évidemment, comme ailleurs, ce sont les plus actifs qui réussissent le mieux...

 
Dans la vente traditionnelle le coût du personnel salarié étant très cher, une sélection rigoureuse est opérée à l'entrée. Dans la VDR c'est l'activité et l'énergie personnelles de chacun qui font la différence.

 
Parfois, lors de périodes de chômage, il se présente 100 à 500 candidats pour une seule place à pourvoir! Dans la VDR, aucune condition n'est exigée pour adhérer. Mais les revenus du distributeur dépendront uniquement de son travail.

 
Le Distributeur indépendant ne bénéficiera pas d'un dédit ou d'une indemnité de sortie s'il quitte le réseau. Le candidat apprend son métier sur le tas et la sélection se fait sur le terrain.

 
Ce sont deux conceptions radicalement différentes du commerce.

 
"L'opportunité de la Vente directe par réseau, c'est une chance qui passe.
La saisit qui veut, y renonce qui le souhaite." (Guy de la Poterie).

 
Si un candidat à la Vente directe n'a pas de besoins particuliers, ni de motivation personnelle, ni d'ambition, il ne restera pas dans le réseau.

 
Et, parmi ceux qui restent à bord, il est trois sortes de caractères : les coucous, les hirondelles et les aigles.

 
Les coucous ce sont des personnes qui espèrent faire fortune rapidement sur le dos des autres, en travaillant le moins possible. Ils confondent la VDR avec la Vente pyramidale.

 
Les hirondelles ce sont des vendeurs actifs, dynamiques, des hommes et des femmes de terrain qui font du chiffre par la vente directe, de personne à personne et qui aiment ça. Ils ne cherchent pas forcément à faire fortune. Ils sont meilleurs vendeurs de proximité que recruteurs.

 
Les aigles, ce sont les entrepreneurs, les leaders. Ils ne se contentent pas de vendre, ils créent un réseau. Leur réseau !

 
Pour qu'une société de VDR fonctionne bien, il faut quelques aigles, beaucoup d'hirondelles et le moins possible de coucous.

 
Dans une ligne, l'aigle, le leader, c'est la locomotive. Mais si les hirondelles sont nombreuses et indispensables, les aigles sont plus rares.

 
Or, ce sont de leaders dont un réseau a besoin pour se constituer, progresser et se pérenniser. Mais il lui faut beaucoup d'hirondelles sur le terrain.

 
Lorsqu'un nouveau candidat se présente, on discerne très vite à quelle catégorie il appartient.

 
Il arrive aussi que, sur le terrain, une personnalité jusque-là effacée, timorée, se transforme soudainement, se révélant énergique et brillante.

 
Dans la VDR il n'est pas nécessaire d'être un aigle pour réussir. Nous l'avons vu, la VDR est un fantastique révélateur de caractère et de comportement.

 
Comme dans les relations intimes, où l'amour fou ne dure guère, l'enthousiasme d'un nouvel adhérent à un réseau VDR ne dure que quelques semaines.

 
S'il n'y a pas de réponse rapide, de résultat tangible, les coucous s'en vont d'abord, suivis de quelques hirondelles déçues.

 
Le rôle de l'aigle, du leader est d'aider ses nouvelles recrues à se mettre dans le bain et de réussir à franchir le plus rapidement possible le premier cercle, celui de la famille et des proches.

 
La seule façon de motiver un nouvel arrivant, c'est de le prendre en main dès le début, de l'aider à organiser une réunion à domicile, puis une autre, de lui permettre d'effectuer ses premières ventes, de lui rendre le système palpable. Alors seulement, une fois sur cinq, sur dix, quelque chose se déclenche...

 
Il en va de même pour la "présentation d'opportunité d'affaire", en anglais "business opportunity" ou "business briefing", élément essentiel, incontournable pour initier le candidat au système VDR. Une fois sur cent seulement un postulant se révèle "aigle". La plupart du temps d'ailleurs, c'est l'aigle qui fait les premiers pas.

 
"On ne choisit pas un aigle, c'est lui qui nous choisit."
Question :
Etre VDI, Vendeur à domicile indépendant,
statut officiel de la VDR (en France), n'est-ce pas un peu minable ?
Il me semble difficile d'avouer à une jolie fille dont je souhaite faire la conquête,
que j'exerce une telle profession !
Réponse :
Il est vrai que le "titre" de vendeur à domicile même indé;pendant n'est pas particulièrement valorisant ni représentatif. L'activité qu'il recouvre, elle, par contre, est beaucoup plus séduisante. Le VDI des années 2000 ne va plus sonner aux portes comme le colporteur de jadis ; il est avant tout un conseiller-vendeur indépendant, il travaille sur rendez-vous et ses instruments de travail sont son téléphone portable et son ordinateur.

 
C'est pourquoi le VDI débutant qui veut réussir doit absolument apprendre son métier et acquérir un savoir-faire sur le terrain avant de créer un réseau. Après quoi il ne sera plus "vendeur à domicile" mais gérant de société ou PDG, chef d'une entreprise prospère.
Question :
J'entends souvent dire des personnes qui se lancent dans cette activité, que c'est « parce qu'elles ne savent rien faire d'autre ou qu'elles ont échoué partout ailleurs.» On dit aussi que la VDR est un petit boulot minable sans réel avenir ! Quelle réponse donner à cette objection fréquente ?
Réponse :
Il arrive en effet que des personnes entrent dans un réseau de vente directe parce qu'elles espèrent que cela va résoudre d'un coup de baguette magique tous leurs problèmes d'argent, de chômage et de situation sociale.

 
En fait, cette profession, nous l'avons dit est une profession comme une autre, avec les mêmes exigences pour réussir.

 
La VDR restera un petit boulot d'appoint pour celui qui ne se sent pas l'âme d'un entrepreneur. Elle ne conviendra pas à celui qui n'a pas d'ambition, qui préfère l'assistanat social et le RMI à l'aventure d'une création d'entreprise, activité libre nécessitant effort et volonté.

 
Mais les possibilités très attrayantes offertes par la VDR à une personne motivée, entreprenante et ambitieuse sont réelles et des centaines de milliers de personnes à travers le monde sont là pour en témoigner.
Question :
Quelles sont les qualités et les ressources exigées par ce type de vente ?
Réponse :
Le candidat à la VDR doit avoir des motivations claires, il doit savoir où il va et ce qu'il veut. Il doit être ambitieux et organisé.

 
Il doit être généreux. Il doit accepter d'aider les autres, de les former, de les accompagner, de leur donner de son temps, de les aider à réussir.

 
Dans la VDR tout doit rester transparent, ouvert, offert à chacun. La réussite d'un distributeur indépendant passe par la réussite de ceux qu'il a parrainés.

 
Un vendeur indépendant doit aimer communiquer, rencontrer des gens, ne pas être avare de son temps. Il doit présenter les produits ou les services qu'il a adoptés pour lui-même avec une telle conviction qu'il éveille tout naturellement l'intérêt de son client.

 
Mais contrairement au salarié qui touche sa première paie au bout d'un mois de travail et peut même obtenir une avance, le VDI débutant ne doit compter que sur les gains dégagés par ses ventes immédiates.

 
Il doit donc posséder des ressources suffisantes pour survivre durant le lancement de son activité, avant de pouvoir en vivre confortablement.

 
Pour réussir dans la VDR, il est vivement conseillé de ne pas quitter son emploi avant que les revenus mensuels provenant de cette activité n'atteignent l'équivalent d'un an de salaire.
Question :
Peut-on raisonnablement espérer réussir dans la VDR si l'on n'a jamais pratiqué la vente
et que l'on ne se sent pas le tempérament d'un vendeur ?
Réponse :
Oui. La VDR, nous l'avons dit, est un révélateur de caractère. Parmi ses leaders il y a davantage d'autodidactes que de diplômés.

 
Des personnes jusque-là sur le sable, n'ayant jamais trouvé leur véritable place dans une entreprise traditionnelle, parce qu'elles se sentent trop indépendantes, pas assez malléables ou soumises, voire fortes têtes, parviennent à gagner leur vie et à se réaliser pleinement dans la VDR car elles y sont libres d'organiser leur activité sans pression hiérarchique.
Question :
Quel investissement dois-je prévoir pour me lancer dans cette activité ?
Réponse :
L'investissement de départ est modeste, de l'ordre de 300 à 450 euros. Mais au début, il faut "survivre" : se nourrir, payer son loyer, ses frais de téléphone, de déplacement jusqu'au moment où les revenus vont devenir suffisants.

 
C'est pourquoi, pour la plupart des débutants l'activité VDR démarre comme un travail d'appoint.
Question :
Au bout de combien de temps
pourrai-je réellement gagner ma vie avec la VDR ?
Réponse :
Le distributeur indépendant ne jouissant pas d'un salaire fixe ni même du remboursement de ses frais, ne pourra compter à ses débuts, nous l'avons dit, que sur le bénéfice réalisé sur ses ventes personnelles, parfois limitées, et, éventuellement sur le coup de chance que représente le parrainage d'un "aigle".

 
En fait, il n'y a pas de règle. Certains nouveaux distributeurs parviennent à monter très vite en puissance, d'autres végètent, beaucoup renoncent par manque de résultat.

 
En moyenne, il faut 1 an à 2 ans pour monter un réseau VDR performant et rémunérateur.

 
Il arrive que des distributeurs réussissent à monter un réseau en trois ou six mois ! Tout dépend de l'effort et de la constance déployés par le débutant au cours des premiers mois. S'il ne fait qu'un ou deux contacts par semaine, il ne décollera pas et renoncera vite.

 
Mais d'autres facteurs interviennent : le potentiel commercial du produit ainsi que le dynamisme de la société et sa capacité à former ses distributeurs, à les considérer comme de véritables partenaires, et non pas comme de simples citrons à presser et à jeter.

 
La construction d'un réseau est une affaire de contacts et de statistiques : sur vingt personnes contactées, dix sont intéressées, deux signent le contrat et une va se mettre au travail, l'autre restera consommatrice ou ne donnera plus signe de vie. Au-dessous d'un certain volume de contacts il n'y a pas de rentabilité possible.
Question :
Je n'ai pas la bosse du commerce,
puis-je tout de même devenir Distributeur indépendant ?
Réponse :
La réponse est "oui". La VDR n'est pas une vente forcée mais une vente naturelle.
Le DI ne doit pas placer son produit au baratin ou à l'arraché. Il est un conseiller-vendeur indépendant qui souhaite fidéliser une clientèle exigeante. La conclusion de la négociation entre le DI et son client repose sur la confiance que le vendeur a réussi à inspirer à l'acheteur.
Question :
Je suis chômeur non assisté, sans domicile fixe, puis-je raisonnablement devenir VDR ?
Réponse :
La VDR n'offre hélas pas de réponse immédiate à une personne financièrement ou psychologiquement en difficulté.

 
La Vente directe est un vrai métier, pas un petit boulot ou une forme d'assistanat.

 
Le candidat doit être disponible, motivé, posséder un caractère indépendant, accepter de se remettre en question, d'apprendre, de faire ses preuves sur le terrain sans compter son temps, être généreux, enthousiaste, positif, tenace : les résultats financiers ne viennent qu'après.

 
Cela dit, il est mille exemples à travers le monde d'anciens chômeurs ayant brillament réussi dans la VDR.
Question :
Quelle différence y a-t-il entre : courtier, mandataire, agent commercial,
vendeur ou distributeur indépendant, etc. ?
Réponse :
Un courtier est un commerçant indépendant qui s'entremet dans les transactions entre une société ou un marchand et ses clients particuliers, ex : courtier en tableaux.

 
Un agent commercial représente les intérêts d'un individu, d'une société ou d'un groupe en agissant pour leur compte sans véritable lien de subordination, ex : agent de change.

 
Un mandataire est une personne (ou une société) à qui une autre personne physique ou morale (le mandant) confie un mandat, c'est-à-dire le pouvoir d'agir en son nom, ex : mandataire aux halles.

 
Le représentant est un intermédiaire agréé entre une maison de commerce, une société productrice ou de services et une clientèle privée ou de revendeurs, ex: représentant de commerce.

 
La fonction d'un délégué est de promouvoir une société ou des produits, et surtout d'informer une clientèle ciblée, ex: délégué commercial, délégué (ou visiteur) médical.

 
En fait, le rôle du distributeur indépendant est le plus souvent à la fois celui de courtier, de mandataire, de délégué et d'agent commercial.


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